



MATTHEW IAKOPA
La vérité sur l'origine de l'ADN et des Acides nucléiques
Par Matthew Iakopa

© COPYRIGHT 2018


Double hélice de l'ADN (version simplifiée) avec ses liaisons hydrogène (horizontales) et la charpente sucre-phosphates (verticale)
‘MUSIC : ON/OFF
1
Exo-Genesis
Schéma des 64 hexagrammes du Yi-King, correspondant à une modulation en 3 états (en musique on dirait 3 notes) correspondant à des états quantiques de l'ADN :
64 * 3 =192 permutations
La question de l'origine de l'ADN sur la planète Terre est l'une des plus passionnantes qui puissent être selon moi. Pourtant, à ce jour, cette origine demeure encore grandement inexpliquée ou bien fait l'objet d'une profonde et authentique désinformation de la part de la communauté scientifique. Il n'est pas question ici de conspirationisme, mais d''un changement de paradigme. Moi-même, ce n'est qu'au prix de longues et patientes années d'études, de lectures, d'échanges et de réflexion sur les mystères de l'ADN, que j'ai pu m’apercevoir, dans cette quête de la vérité, que toutes les informations que je récoltais durant ces longues années, n'aboutissaient en fin de compte, qu'à me faire repousser les limites du champ de ma compréhension, de ce qu'est la brique de la vie "ultime" qu'est l'ADN. Au début de cette quête, il y a bien longtemps, comme tout néophyte, je pensais, que la science du génie génétique, avait pu depuis les années 50 , grandement élucider comment ces molécules, les acides nucléiques que sont l'ADN et l'ARN, s'étaient formés "naturellement" en fonction de lois et de processus physiques linéaires et identifiés, dans le cadre d'une "macro-évolution" Darwinienne. Mais, il n'en était rien ! En fait, en pensant cela, je me suis apperçu qu'on était très loin du compte et qu'une vaste opération de "désinformation" en destination du grand public était pratiqué depuis 1954, date de la mise en évidence d'un code génétique.
Il m'a fallut lire beaucoup d'articles très techniques, depuis près de 25 ans, ainsi que quelques livres clefs (en particulier le best-seller, "Le Serpent Cosmique", de l'anthropologue de Standford, Jérémy Narby) pour pouvoir me forger une pensée consistante, ainsi qu'émettre une opinion relative à l'origine au processus de la vie qui relie l'ADN et le reste de la machinerie cellulaire. Mon opinion est la suivante, ne fait que reprendre en y ajoutant "une variable", celle du "génie Francis Crick qui a co-découvert l'ADN en 1954 : les acides nucléiques (ARN et ADN) ont fait l'objet d'un "arrangement" informationnel, en résumé, d'un codage qui va à l'encontre du principe du "chaos" et de la dégradation des structures matérielles (entropie). La structure de cet arrangement "bio-informationnel" a pu se faire de deux façons : a) soit la vie vient d'ailleurs (espace ou d'une autre dimension par convoyage "express") b) soit le processus de codage fut réalisé ici sur Terre avec les matériaux déjà présent en abondance dans la "soupe primitive". Personnellement, et pour certaines raisons, je pense que l'ADN et le reste du processus (la cellule originelle) ici sur Terre, fut "bio-synthétisé" par la main "invisible" ou le Deus Ex Machina (Dieu en d'autre termes)... Dans tous les cas, une telle organisation dans la biosphère terrestre est trop complexe et précise pour n'être que la convergence d'une multitude de hasards qui sont "divergents" par nature. Sauf à considérer le hasard comme en partie "déterministe" ou devant être stochastiquement signifiant.
Dans tous les cas de figure, et comme Francis Crick, l'avait parfaitement résumé, la structuration et la synchronisation de l'ARN et de l'ADN dans la machinerie cellulaire, implique un "plan", un "pattern" préalable selon Crick. En effet toute construction (en architecture, en horlogerie, ou bien celle d'un outil complexe, etc) d'un tel niveau de complexité, avec les similitudes qu'on peut trouver à l'ADN avec une horloge Suisse, impliquait que l'intelligence en question, ait d'abord eut un "Plan", un "schéma" préalable de la structure ainsi crée avant que celle-çi ne soit opérationnelle. L'intelligence prodigieuse qui est à l'origine du codage des acides nucléiques et de la mathématique de l'ADN et de sa synchronisation avec les différents ARN, implique un haut degré de structuration également qui contrevient aux principes d'entropie positive qui existe dans la matière. Les travaux du bio-informaticien français Jean CLaude Pérez, sont d'ailleurs édifiants, relativement à la structuration du génome non-codant, en proportion "gracieuse" du génome codant, et démontre l'existence de "résonance" différentielle, qui contreviennent grandement à une fonction "entropique" classique pour une structure matérielle. C'est la raison aussi pour laquelle on classe l'ADN ainsi que l'ARN dans la catégorie des "quasi-cristaux" du fait d'un grand nombre de propriétés "optique" de conductivité totalement "high tech" de ces deux molécules. De nombreux instituts : M.I.T, Institut Pasteur, cherchent à exploiter ces propriétés "intrigantes" de l'ADN, afin de l'associer par exemple à des micro-puces en silicium (puce à ADN), ou bien pour optimiser la conduction de flux de données optronique et numérique (cf article futura science).
Plus les technologies appliquées évolueront plus nous allons nous rendre compte de cette "évidence" que l'ADN et l'ARN sont le fruit d'un processus "créatif". Je pense, en ce qui me concerne, que lorsque sortira la première I.A (intelligence Artificielle) spécialisée en biologie, elle en arrivera à la conclusion que "son créateur" l'homme, lui même, a lui même été crée, mais par quelque chose d'autre qu'une "super-IA" que serait DIEU. Selon moi, la piste la plus "pertinente" sur notre "Créateur", consisterait à aller regarder vers des notions telles que "champ d'énergie quantique" (champ de Higg, champ super lumineux de Dutheil, etc), en particulier si l'on en vient à considérer que l'ADN est parfaitement en harmonie aussi, avec tout un "univers physique" (le notre) dont les "constantes" fondamentales (G, gravitation, H hubbles, P (Planck), C vitesse lumière) sont calibrées elles-mêmes, en rapport avec l'ADN (micro-champ quantique, liaison hydrogène, cohérence biophotonique intra-ADN, etc). Cette Intelligence Artificielle, qui sait exsiste-t'elle déjà, dans quelques "laboratoires" ultra-top-secret de la planète. Selon mes prospectives personnelles, certains états auraient tout intérêt à développer une telle I.A, car, elle permettrait de donner une avance considérable en biotechnologie, nanotechnologie appliquée au vivant, et à des applications concrètes, comme le clonage, les cellules souches, les nano-robots. Pour les personnes les "plus BE aware", en fait, la science-fiction n'a pas fait que nous rattraper, elle commence a prendre beaucoup d'avance !
Il va s'en dire, que la question de l'origine de la Vie sur Terre, est très étroitement liée à la question de l'univers dans lequel nous sommes, ainsi que de la forme "géométrique" précise de la Terre sur laquelle nous vivons. Ainsi, plus nous allons progresser dans la compréhension de qui nous sommes, plus nous allons aussi progresser, dans la compréhension de "où nous sommes". La construction de la trilogie ALERTE PLANETAIRE est construite en ce sens. L'origine de la Vie sur Terre reste un insondable mystère. Pourquoi un univers dont la cosmologie "classique" dit qu'il est illimité, doté d'une expansion continue (red shift), aurait-elle crée, une seul et unique endroit dans l'univers, ici sur Terre, pour créer un processus de Vie, dont l'aboutissement est le "genre humain" et sa fabuleuse force de frappe "destructrice" ? Sommes-nous à ce point, un summum sur le plan évolutif ? D'où viennent les bugs "génétiques" -les monstruosités, les chimères, et quelques autres artefacts biologiques anormaux -des squelettes géants en passant par les multiples hybridation du génome humain- ainsi que certaines anomalies chromosomiques comme le syndrome de Down (trisomie 21) ? L'ADN ne pouvait-il pas faire mieux ou bien y a t'il eu une interférence dans un lointain passé ou bien une erreur dans la copie d'un plus vaste projet d'ADN "cosmique" ? Pourquoi constate t'on que l'hybridation est la norme dans le vivant, en particulier pour l'espèce humaine ?
Comme disait Einstein lui même, comment un univers aux proportions si gigantesques, aurait-il pu se constituer, et créer par hasard, la planète Terre et sa biosphère vivante, le tout suspendue dans un vide intersidéral, par la seule force de gravitation ! A vrai dire, nous ne sommes pas sur du tout, eu égard de certaines "trouvailles" récentes de l'astronomie, que nous soyons dans l'univers, mais, qu'au contraire, il s'avère très probable que cet "univers", ne soit qu'une "projection" holo-dynamique un bio-hologramme en somme. Cela rappelle clairement les assertions du Bouddha Sakyamuni, sur la nature profondément "illusoire" de la matière et du monde, chose qu'il a professé, 5 siècles environ (-440 avJC), avant la venue de Jésus Christ dans notre monde. On retrouve exactement la même notion "d'illusion" ou "chimère" matérielle, chez les premiers Gnostiques Chrétiens de la secte de Marcion (2 siècles ap-JC).
L'ADN est le réceptacle chaque seconde, d'une accumulation de centaines de millions de signaux, résultant des transformées de Fourrier qui s'opèrent via nos capteurs sensitifs (vue, oui, goût, tactile, etc). Ces champs informationnels résultant de ces "transformées", peuvent aussi opérer des modulations dans l'expression des gènes de l'ADN, et c'est tout une nouvelle branche de la biologie, qui s'y intéresse, qu'on nomme l'épigénétique[i]". Cette nouvelle approche, assez révolutionnaire de la biologie de l'ADN, consiste à dire que l'ADN, et les gènes qui le composent en tant que segment, est un système à rebond, qui est capable de modifier l'expression d'un gène -ou plusieurs- sous l'action de facteurs internes et modulateurs (conscience, alimentation, l'air qu'on respire, les rayonnements auxquel on est exposé, etc) aussi bien que des facteurs externes (stress, alimentation, environnement, etc). L'ADN est bien plus modulable et flexible qu'on le pensait, comme le cerveau peut l'être, lui aussi très plastique. L'ADN est présent dans le noyau de chaque cellule du corps humain, un peu à la manière dont fonctionne un hologramme "optique" de GABOR, ou chaque fragment de l'hologramme, comprend "optiquement" l'ensemble de l'image holographique tridimensionnelle... L'épigénome est constitué de chromatine en superposition 3D du génome global.
Ainsi, je pris conscience durant de longues années de recherche, que le seul point tangible, visant à démontrer l'action d'une main invisible sur le monde matériel, se trouvait, spécifiquement dans la structure mathématico-géométrique et physique des acides nucléIques (ADN et ARN). Tout indique, que ces acides, dont les propriétés "secondaires" sont extraordinaires, ont du être manipulés par quelque chose, qu'on appelle cela DIEU ou bien par un Deus Ex Machina (un Démiurge), afin de créer la communauté d'être vivant que nous formons sur Terre et cela dans un but, quoiqu'on en dise, qui nous échappe complètement. Il est très dur pour l'égo humain, d'accepter cela et de se voir ravaler au rang de "légo", pour reprendre l'expression à la mode d'Elon Musk, fondateur de Paypal et co-fondateur de Space X ainsi que Tesla Inc. Notons le grand intérêt de ce dernier pour la question extraterrestre et les nombreuses sorties médiatiques qu'il fait sur le sujet.
L'ADN et les acides nucléiques, sont une partie du problème, l'autre demeure le niveau de "codage fort" (strong) de toute cette mécanique adnéique cellulaire. Le code génétique est un code à la fois d'une redoutable simplicité, ainsi que d'une incroyable quantité en volume si on devait le "déplié". L'autre point important est la "révolution silencieuse" que la plupart des biologistes et généticiens n'ont pas pu comprendre, concernant la communication par photon (lumière) opérant dans toutes les cellules humaines et animales. Cette information n'a rien de mystique, car, cette communication se fait par des photons, bien "réels", dans la bande ultra-violette. Libre à chacun d'en tirer les conséquences "spirituelles"ou autre qu'il convient.
L'ADN humain comporte en moyenne 3,2 Milliards de paire de base par génome (CAD par individu) variant selon l'espèce bien sur. Le taux d'erreur lors d'une réplication d'ADN est très faible d'environ 1 sur un Millards de paire de base. L'unité de base se nomme le réplicon. Comment un tel taux de réplication, vu le degré d'enroulement de cette molécule sur elle même, peut être atteint avec une si grande stabilité ? C'est encore une question sans réponse, qu'on ajoutera à la longue liste des questions délicates, histoire d'enfoncer le clou. Comment un tel taux peut-il être atteint, en tenant compte des facteurs stochastiques (ceux liés à l'environnement, par exemple, les pressions radiatives, l'entropie) ? Mais les choses les plus "surprenantes" relatives à l'ADN, n'ont pas encore été "divulgué" ou correctement comprises, j'en suis persuadé, et certaines de ses propriétés, restent encore à découvrir. Parmi ces choses "étranges", on se rend compte que l'ADN est une macro-molécule hyper-compacté. L'ADN et ses 46 chromosomes ont en effet, un étonnant degré de compaction, puisque déplié les 46 chromosomes forment un ruban monobrin de 2 mètres de longueur, comprimés dans une cellule dans un noyau de 10 μm (micromètres) de diamètre (facteur 400 000). L'origine de la Vie sur Terre est une des questions les plus savantes -élégante- qui soit. Il va s'en dire, que nous sommes des êtres biologiques, des bio-machines, en quelque sorte, mais "surement" pas que ça. L'un des critères fondamentaux de la vie, est la "reproduction" au même titre que la présence d'une membrane (qui est une frontière fixe donc pour un organisme vivant). Le troisième critère étant la reproduction (ou duplication). L'ADN, est un programme, un programme biologique, permettant de reproduire -dans la traversée de la dimension du temps ou facteur temps- un "modèle" certain, d'organismes vivants, produisant ou simulant la conscience, via une activité "électro-biochimique".
Le point commun à tous les êtres vivants, est d'ailleurs de pouvoir exprimer une forme plus ou moins élémentaire de "conscience". Même les cristaux, les roches qu'on trouve au bord de l’océan, les arbres, expriment tous autant qu'ils sont une forme de "conscience" pourtant ils ne disposent pas d'ADN ni d'un acide nucléique. Donc, l'ADN est surtout un programme, visant à faire fonctionner (syntoniser) la conscience d'une certaine manière... Quel est le but de cela ? Est-il possible de répondre à ces questions qui rejoignent la plus haute métaphysique ? C'est en me documentant sur ce sujet, et en cherchant dans la littérature scientifique "conventionnelle", que je pu apprendre que l'apparition de l'ADN, du moins, son apparition supposée en provenance de la TERRE par auto-structuration ou bien de "quelque part", se situe vers l'EON"primaire" (en géologie, il s'agit donc du premier stade géologique de l'évolution de notre planète, à l'époque où la croûte terrestre fut solidifié, puis les plaques continentales venaient juste de se former entre – 5 Md et – 4Md).. Désolé, nous n'avons pas de dates plus précises, le calendrier des pompiers, n'existait pas encore à l'époque !
L'apparition de l'ADN avait comme préalable une autre apparition tout aussi mystérieuse et "incroyable", dans le cadre d'un processus de "création-évolution" qui régente la vie sur Terre, je crois bien, et cette apparition "incroyable n'était autre que : la naissance des océans ainsi que l'apparition de l'eau en grande quantité il y a environ 3.5 Milliards d'Années. C'est dans cette eau, je pense, que réside l'une des "clefs" pour comprendre en quoi le processus de vie à base d'une liaison d'hydro-carbone ( soit le code intra-nucléique et numérique : 6-666[ii]) ait pu se dévelloper créant une myriade de formes de vie tout aussi extraordinaire en diversité et complexité, mais qui toutes fonctionnent à "l'unisson" et respectent une parfaite symétrie orthogonale. Le canon humain de Léonard de Vinci, représente bien cette notion de symétrie axiale (orthogonale) où apparait le nombre d'Or et la progression de Fibonnaci.
En conclusion, la "génèse" de la Vie sur Terre, peut se résumer à 3 questions, très techniques portant sur la nature même de l'ADN : a) la mathématique de l'ADN et de la machinerie cellulaire b) l'eau et son origine (cometaire pourquoi pas ?) en tant que fluide étrange c) le fait que les cellules communiquent par des photons ultra-violet (rayonnement cellulaire ultra-ténu) dont l'intensité et la fréquence varient suivant des gradients "inconnues". Ainsi, mathématique, eau et lumière forment en quelque sorte, le "triumvirat" parfait régissant et co-organisant la structure du monde vivant telle que nous la connaissons ici sur Terre.
Cet ensemble si "parfait" s'est-il auto-constitué comme cela, ou bien une main invisible,a t'elle crée tout cela, pour des buts et des motivations bien précises, au delà, peut être de notre compréhension ? Un enfant de 5 ans, un peu malin, pourrait répondre aisément à cette question. Mais, dans notre époque, seul fait foi, la démonstration cartesienne. Je vais m'efforcer de donner quelques pistes de réponses, dans la suite de cet article, en m'efforçant de rester le plus objectif possible. L'objectivité saine et absolue n'existant pas, il faudra me pardonner mes élans "mystico-spiritualiste".
[i] L'épigénétique est la science ou sous discipline récente de la génétique, qui selon l'encyclopédie Wikipédia : " L'épigénétique est la dsicpline de la biologie qui étudie la nature des mécanismes modifiant de manière réverssibles, transmissibles et adaptives, l'expression des gènes sans pour autant modifier le code nucléotidique".
[ii] L'atome de carbone servant de briques fondamentale des acides nucléiques, est la brique ultime. Son nombre atomique dans le tableau périodique des éléments est 6, son nombre de protons est 6, son nombre d'électrons de valence, 6, son nombre de neutrons est 6 (6-666).

Francis Crick et James Watson. Ils mirent en évidence le role des bases nucléiques et découvrirent le role de l'ADN dans l'information génétique

Schéma élémentaire de décompaction de l'ADN nucléaire. Phase de transcription via l'autre acide nucléique qu'est l'ARN. Duplex DNA/RNA
Je vous recommande de prendre connaissance de cette vidéo qui résume très bien les choses.
Explications en 5 minutes des raîsons pour lesquelles lesquelles les acides nucléiques ne peuvent s'être "auto-construit" par le biais du seul hasard ou déterminisme biologique.

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Aqua di Gaïa
L'apparition de la vie sur Terre - selon James Lovelock le processus GAÏA (NASA 1972)- se situe selon la plupart des scientifiques, entre 3.5 et 3.8 Milliards d'années de ça... Etonnement, Lovelock raconte que c'est en travaillant sur la Terraformation de Mars pour la NASA, qu'il eut la géniale intuition de l'hypothèse GAÏA, "Terre Vivante". Pour l'expliquer en quelques mots, ce processus, indique et formule, que c'est la vie elle même via l'activité chimico-physique des organismes vivants, qui a influencé et modelé l'environnement terrestre afin de réguler certains paramètres biogéochimiques. L'hypothèse GAÏA, n'explique en rien, toutefois, comment la vie a pu naitre ni comment une tel degré d'organisation a pu se produire. Elle se borne à des considérations et des observations de bon sens. Contrairement à ce que l'on pense, c'est une hypothèse très scientifique, et pas du tout new-age, car, elle tient compte de certains paramètres de calcul d'éléments chimiques dans le passé avec une extrême rigueur, comme Lovelock l'a conçu en même temps qu'il travaillait sur la terraformation de Mars, nul doute, qu'il avait une vision très claire de la dynamique "chimique", des fameuses boucles de rétro-actions, et des ordres de grandeur, pour calculer comment ce même processus -de terraformation- avait eu lieu sur Terre dans un lointain passé. Pour Mars, on savait que c'était nous qui souhaitions être des Terraformeurs. Mais, pour nous, qui l'a fait ? L'hypothèse GAÏA, se borne à dire en résumé, que le processus de la Vie qui a influencé l'environnement terrestre, en le modulant à son avantage et en l'adaptant, à son avantage. L'hypothèse GAÏA, a au moins le mérite de répondre à certaines questions et observations, comme les quantités phénoménales de Co2 dans un lointain passé...
Les cellules procaryotes avec un ADN et sans noyau cellulaire (cytoplasme), sont censés être les premières formes de vie de la planète. Au niveau des strates géologiques, ont peut dresser une chronologie et un arbre généalogique du vivant, mais, on peut aussi considérer les choses sous un autre point de vue. Toujours est-il, que l'eau est l'élément central -en tant que "solvant universel"- à mon sens, du processus GAÏA permettant l'éclosion et la multiplication du monde vivant. Comme elle l'est pour le corps humain, où elle représente 72% de sa constitution et pour la surface terrestre, environ 70,71%, mer et océans confondus (delta de -2%), l'eau est OM-niprésente. On ignore les proportions du réservoir d'eau massif se situant à l'intérieur du globe terrestre, mais, surement qu'il représente 30 à 50 % de plus au bas mot, de la totalité de l'eau de surface. Ainsi l'eau fut à mon humble avis, "synthétisé" ou bien "inséré" massivement, dans le cadre du processus GAÏA. Vous devez bien comprendre, que les scientifiques, n'ont, à ce jour (2018) d'explications viables pour déterminer, comment une aussi grande quantité d'eau est présente sur Terre.
C'est là une zone d'ombre totale. L'hypothèse de l'origine cométaire de l'eau resta la plus crédible durant de nombreuses années. Pour ma part, je tendrai à exclure d'entrée, l'hypothèse cométaire, supputant, que lors de la formation de la terre, en tant qu'astre solide, des centaines de milliers de comètes percutèrent la Terre, et que nous le savons, ces comètes sont dotés de "glace", donc d'eau liquide... L'autre point à prendre en considération est la "signature" chimico-physique dont dispose l'eau des océans sur Terre : cette signature est la proportion d'hydrogène lourd. Or, en tenant compte de ce point technique, aucune des grandes théories explicative de l'origine de l'eau sur Terre, (de l'hypothèse des comètes ou celle autrement séduisante de l'Olivine) n'est capable d'expliquer l'apparition ni la présence massive d'eau sur notre belle planète bleue. L'hypothèse la plus vraisemblable, celle de l'origine cométaire, s'est vue d'ailleurs prendre un revers cinglant, par les résultats du sonde spatiale du CNES. En 2014, le CNES annonça que la sonde-robot l'instrument ROSINA, en testant la signature en question sur la comète Churyumov-Gerasimenko, vérifia que les proportions d'hydrogène lourd (rapport deuterium/hydrogène) ne correspondaient pas du tout à ce que le modèle cométaire de l'origine de l'eau prévoyait (mission ROSETA en 2014). Ainsi, la bienveillante et normative théorie de l'origine cométaire de l'eau fut envoyé aux oubliettes par l'agence spatiale Européenne (ESA) Alors, mystère ou boule de gomme ?
L'eau est un fluide vraiment curieux, à bien des égards. On la retrouve bien sur, dans l'architecture de l'ADN . Je ne parle même pas des récentes avancées "scientifiques" qui mettent en évidence, les nombreux mystères de la fameuse "liaison hydrogène", dans la liaison "horizontale" (l'autre grande liaison macro-moléculaire avec la chaine sucre-phosphate) entre nucléotides complémentaires. Enfin, il convient de préciser que l'eau est considérée comme un "liquide" anormal, par les chercheursi précisément l'appélation est "fluide étrange ou anormal". L'eau serait-elle issue d'une autre dimension spatio-temporelle ? Serait-elle une médiatrice entre les sphères ? Pourquoi l'eau se retrouve t'elle au centre de nombreuses pratiques religieuses (du Shintoisme Japonais, à l'Hindouisme, en passant par l'ablution Catholique) ainsi que des pratiques spirituelles ancestrales (dans tous les rituels Shamaniques, à de rares exceptions, on retrouve l'Eau) ? Enfin, en ce qui me concerne, j'adore l'eau, et elle me rend bien ! Précision, j'ai toujours eu un faible, pour les eaux petillantes, et les "sirènes" qui vont avec ! Dans la série Stargate, on sait que les concepteurs de la série, avaient accès à des informations hautement classifiés aux USA. On peut observer que la fameuse "porte des Etoiles" (stargate), lorsqu'elle s'active, génère un "rideau d'eau" (rime!) sous tension dynamique (qui ne bouge pas, hormis quelques fluctuations). Y aurait-il un message occulte dans cette représentation de l'activation d'un "wormhole" (trous de vers) ?
Notre grand chercheur français, feu Jacques Benveniste, avait pu mettre en lumière, une autre propriété anormale de l'eau : sa mémoire. Pour faire simple, l'eau est capable de reproduire des propriétés "chimiques" cibles de molécules, et cela dans la technique de l'hyper-dilution qu'on retrouve dans le processus de fabrication des médicaments homéopathique, sans pour autant, avoir les substrats chimiques correspondant à la quantité moléculaire requise pour avoir un effet -ce qui fait que l'homéopathie en tant que telle, n'est pas prise au sérieux par la science et le corps médical-. Ce qui pose un problème de "logique" certain ! La théorie de la mémoire de l'eau de feu Benveniste donc, et toute la théorie "numérique" qu'il a élaboré, génère un modèle qui en partie explique le problème de l'effet "indiscutable" qu'on retrouve dans les médicaments en homéopathie. De grands laboratoires fabriquent des médicaments homéopathiques (Boiron en France) et, ce n'est pas pour rien. Des gens très "intelligents" savent beaucoup de choses, et ne souhaitent pas que la masse des "moutons" de panurge, apprennent ces choses là.
La création de la Terre en tant que globe planétaire, est une chose que nous pouvons dater, en principe, et celle -çi date d'il y a environ 4.55 Milliards d'années. On estime que, en gros, l'apparition des premiers océans, à eu lieu donc quant à elle, beaucoup plus tardivement, vers 150 Millions d'années après la formation géologique et minérale de GAÏA. Dans tous les cas, si l'on s'en réfère à la science, et aux meilleurs indices en notre possession, les premiers océans sont antérieurs à – 4 Milliards d'années, et donc, la présence d'eau, est détectable sur des roches intégrant du zircons, par des analyses chimiques qui furent faites et sauf à faire appel à des données alternatives (sic!) ce fait est difficilement contestable...
L'eau en tant que solvant, et composant principal de la Vie, est donc un élément central de l'équation du vivant. Sans H²0 le vivant n'existerait pas tel qu'on le connait, mais, on peut s'interroger également sur le cycle de l'eau dans la nature, et sa prépondérance, à l'échelle atomique, où on retrouve cette même liaison hydrogène dans les deux principaux acides nucléiques (ADN et ARN). On peut déjà constater, qu'à l'échelle de la vie de la planète Terre la diversification et la multiplication des formes vivantes est un "phénomène" relativement récent. L'éclosion de la vie, selon la Faune de Burgess, semble se faire tout d'un coup. C'est très curieux si l'on songe que pendant 3 Md et l'apparition des procaryotes, il ne se passe rien. C'est vers -555 Mi (Faune de Burgess, chère aux Néo-Darwiniens) qu'on note véritablement la "multiplication de la vie". Si la terre était un gâteau, et que l'on divisait ce gâteau en "fraction" équitable de temporalité d'occupation, on pourrait dire, que l'espèce humaine, notre espèce s'enorgueillissant de sa technologie "artificielle" autant qu'elle n'est destructrice et qui ne respecte pas l'environnement qui l'a vu naitre, ne représente qu'une toute petite part du gâteau du temps qui a été alloué à la planète Terre, quelques fractions de secondes, tout au plus (apparition de l'homo-sapiens-sapiens entre – 250 000 et – 300 000 ans, grosso modo).
En comparaison, l'espèce dominante, qui a le plus longtemps cohabité avec GAÏA, n'est autre que celle des "sauriens", nos bons amis les "dinosaures", dont le règne fut d'environ 160 Millions d'années, avant de connaitre, une fin "bien mystérieuse" et à ce jour, et qui demeure toujours "scientifiquement" inexplicable (et oui un mystère de plus à rajouter à notre déjà, longue litanie de mystères en tout genre). Car, il y a de plus, une relation de causalité, entre la fin brutale des dinosaures qui précéda l'émergence d'une classe de primates, et le développement des ces mammifères, dont l'espèce humaine, notre espèce est issue. Le diagramme chronologique juste en haut, montre que le processus de la vie, sous sa forme "chimico-physique" à pu être "construit" sur une longue période de temps, avant d'en arriver à l'éclosion du "genre humain".
Très exactement cinq extinctions massives ont eu lieu, depuis que la planète a vécu le processus de diversification biologique qui débuta lors de l'EON primaire. La dernière extinction massive (la cinquième donc) représenta la suppression d'environ 75%, des espèces présentes. Au regard du Zoocide monstrueux qu'impose les humains à nos frères les "Animaux" (expression du journaliste chroniqueur Fog), de tels chiffres sont accablants, et à défaut de faire des humains des Saints, ces chiffres démontrent qu'un processus d'extinction de masse, peut être sans considération aucune pour la Vie biologique et qu'une certaine "inconscience" prévaut dans le monde "matériel" par opposition, peut être simpliste, au monde "spirituel" peut être plus "sensible" et éthéré, du moins en théorie et à une certaine "fréquence vibratoire"...
Nous attendons à ce jour qu'un cataclysme cosmique (sic) ou une action mutagène extraordinaire, puisse réagencer de nouveau, le cours de la vie sur Terre (la fameuse sixième extinction). Une main invisible donc -le Démiurge, le Patron, ou bien le Grand Strateguerre- semble agir en coulisse, avec une extrême "discrétion", mais, là où s'exercent les fabuleux talents "démiurgiques" de cette main invisible, qui controle nos vies et notre destinée, ainsi que l'illusion du "temps", c'est sans nul doute au coeur même de la "machinerie du vivant" : l'ADN et la cellule. Cette ADN, cette cellule sont architecturés par une mathématique ainsi qu'une "géométrie" sacrée dont les bases initiales semblent "transcendantales" et loin de nos "encodages" humain, et même pour n'importe quel mathématicien... N'en déplaise aux adeptes de la Zététique et de la série Number, un grand nombre de mystères existent de par le monde depuis la nuit des temps, et je doute fort, que la "Science moderne" et stricto censu "cartesienne", avec ses petits apprentis-sorciers, soient en mesure, de comprendre le sens exact de certains "faits scientifiques" que le grand public a le droit de connaitre, au vu des intelligences, à qui on a affaire nous sommes loin du compte. Les forces cosmiques et/ou les intelligences qui créèrent l'ADN et peut-être bien une "Sphère de Dyson", dans laquelle nous semblons être selon certaines données astronomiques et géophysiques, sont d'une discrétion exemplaire. Notre science terrestre, sujette à ses contradictions éthiques, économiques et idéologique, me parait bien incapable de répondre à des questions "centrales"...
i Dossiers Science, "Les mystères de l'Eau", page 30-33, Juillet 2016.
Ce documentaire résume bien la situation sur l'origine "mystérieuse" de l'eau sur GAÏA
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LA MATHEMATIQUE DOREE DE L'ADN
L'architecture du corps humain, l'ADN et les cellules contiennent de multiples "informations" mathématique. Ces informations sont structurés de manière distincte, soit en tant que code (a=1 ou B=n+1, etc etc) ou bien en tant que ratio et proportion (nombre d'or (phi) Φ, la suite (progression) de Fibonacci et même PI (π 3,14) exprimant donc un autre type d'information mathématique au sein de la réalité). On pourrait dire, sans abus aucun idéologique, que les mathématiques régissent ou organisent le monde physique. Cette omniprésence des mathématiques dans le "réel" -galaxies, atomes, lois physiques, lois chimiques, etc etc- se retrouve bien sur, sans surprise, au cœur même de l'ADN et de sa structure en configuration de quasi-cristal.
A un certain niveau, tout est mathématique : les lois de l'optique qui vous permettent de voir votre croissant le matin avant de le mettre dans votre bol, d'entendre une musique de Bach, de sentir la pureté du vent, de s'extasier sur les nuages dans le ciel, de lire un poème de Sheakspeare, de déguster un bon hamburger végétarien, et tant d'autres choses. Sans ce langage mathématique, rien de tout cela, ne serait possible comme nous l'expérimentons. Même un ballon de football s'avère être intrinsèquement une entité mathématique particulière.
Le décryptage du code génétique en 1954, par Crick et Watson, à pu mettre en lumière, les bases du code génétique via quelques règles "logique et mathématique" fort simples à comprendre, même pour un enfant de 10 ans : 4 éléments fondamentaux ou briques nucléiques (AT/GC), une règle d'appariement (A+T ou G+C), une règle de transcription, puis une répartition de 3 éléments dans un ensemble de 4 (le triplet codonique dans les 4 nucléotides de base (ATGC), avec un changement pour l'ARN intégrant l'uracile (AUGC)) formant un nombre de combinaison de 64 (codons) au total. Bien que les règles de base du code génétique restent assez simple à comprendre, elles créent toutefois, des structures complexe. Le code génétique définit la correspondance entre la séquence nucléotidique de l'ARN messager (et donc celle de l'ADN) et la séquence en acides aminés de la protéine. La séquence des acides nucléiques est une combinaison de 4 lettres (A, C, G, T dans l'ADN ; A, C, G, U dans l'ARN), la combinaison de ces 4 bases va permettre de "coder" pour les 20 acides aminés. Puis les acides aminés, vont coder les protéines, en de longues chaines. L'une des questions centrales est que l'ADN a besoin de protéines spécifiques (les histones) pour pouvoir se dupliquer. Qui de l'ADN et des protéines est apparu en premier ?
Pour que cela soit possible, il faut qu’un acide aminé soit signifié (codé) par un groupe de 3 bases dans l’ARNm ; ce groupe de 3 bases, au niveau de l’ARNm, est appelé "codon". Comme il y a 4 bases nucléotidiques (3F4) et ) il y a 64 combinaisons différentes pour un triplet (4x4x4 = 64 codons). Notons à ce stade, qu'il existe rien qu'à ce stade, un problème de "redondance" au niveau de notre code génétique, qui implique qu'on le qualifie -cf le code génétique- encore aujourd'hui en biogénétique de "dégénéré", car, il ne code que pour 20 acides aminés, alors, qu'une maximalisation "numérique", impliquerait qu'il code pour : 64 combinaisons = 64 acides aminés. En effet, plusieurs "triplets" codonique codent pour les mêmes acides aminés. C'est là une spécificité, un indice bio-mathématique à ne pas négliger à mon sens. Une multiplication des acides aminés, produiraient une multiplication des protéines, et qui sait, des combinaisons atypiques, de nouvelles protéïnes. Cela pourrait également avoir aussi, avec des effets quantiques qui nous échappent au niveau des liaisons hydrogène. Le tout influence t'il l'organisation des parties avec l'inverse vrai aussi ?
En 2003(i), l'équipe du projet ENCODE du PGH (Projet sur le Génome Humain en Français) avait séquencé le génome humain et ses 25 000 gènes codant. C'était un aboutissement de la biologie, mais certaines découvertes dix ans plus tard, rendirent la situation plus complexe. Plus précisément en 2012, une autre équipe de l'université de Washington aurait découvert l'existence d'une "seconde matrice" de codage opérant en mode écriture en quelque sorte, et qu'on décèle sous le premier niveau de codage. Cette seconde organisation matricielle ayant un rapport dans l'expression des gènes et les mutations ad hoc des organismes vivants (épigénétique bis). Découvrir un niveau de codage "secret" dans l'ADN, reste une découverte révolutionnaire mais qui reste totalement opaque pour le grand public. Cela commence à faire beaucoup de niveaux de codage non, pour un simple hasard de mère Nature !? Alors, commencez-vous à voir, oui ou non, l'action de la main invisible (encore une fois, qui ou quoi qu'elle soit) derrière tous ces faits concrets ?
L'ADN et l'ARN forme un couple charmant doté d'une naturelle élégance, et qui comprend de multiples niveaux et des partenariats qu'il reste encore à comprendre. La nature seule, sauf à faire appel à un hypothétique "système de convergence" aléatoire (en gros une succession sidérante de "hasards"), disposerait donc d'étonnantes facultés en mathématique, qu'on est bien incapable demain ou aujourd'hui, si l'on est honnête intellectuellement, de pouvoir expliquer de manière rationnelle. Platon avec ses 5 polyèdres fondamentaux basés sur le nombre d'Or ou "section Dorée" (PHI ou Ф) a justement pensé, un peu moins de 5 siècles av-J-C, que ces 5 solides étaient à la base de l'architecture harmonieuse du COSMOS. La vision de Platon était en essence, très "mystique", s'il en est, et elle rejoint sur de nombreux points, celle des "Kabbalistes" modernes. Toute information mathématique peut être traduite "géométriquement" et l'inverse est aussi vraie (ou quasiment vraie dans de nombreux cas). La géométrie et la mathématique c'est un peu à mon sens, comme le magnétisme et l'électricité pour la physique, c'est à dire, deux faces d'un même "phénomène" originel un peu comme le Ying et le Yang de la philosophie Taoïste, quintessence de la philosophie Chinoise antique. Revenons à nos moutons, plutôt, à nos chèvres matheuses.
Outre le fait que les acides nucléiques fonctionnent avec les mathématiques, ils sont aussi redoutables pour effectuer des calculs "très complexes". Pour illustrer s'il en était encore besoin, les capacités calculatoires de l'ADN, en particulier, pour la résolution de problèmes de combinatoire, il convient de prendre en compte la naissance et les progrès vertigineux, milieu des années 90, de la bio-informatique – CAD l'association entre informatique et biologie- ces dernières années, en particulier aux USA, au JAPON et en FRANCE (Institut Pasteur et Polytechnique). En particulier, le fait de connecter des "brins d'ADN" à des puces de Sio2 – formule chimique du silicium-, pour effectuer des calculs quasiment impossible à résoudre, en temps raisonnable, avec un ordinateur "classique" (genre votre processeur PENTIUM 7 de bureau). Non, vous ne rêvez pas ! Ce n'est pas de la science fiction c'est la réalité actuelle, le tournant qu'on est en train de prendre.
L'ADN on l'a découvert, est une formidable machine à traiter des signaux élémentaires en parallèle, et, si je m'avançais un peu, il y a là, une étonnante similarité entre la capacité de traitement de l'ADN -qu'on exprime en mega-bit par unité de temps- en proportion des prouesses théoriques que sont susceptibles de réaliser les fameux ordinateurs quantiques avec leur fameux "q-bit" (quantic bit ou l'équivalent quantique du bit classique à la puissance Q(n)) à l'aide de la propriété dite "d'intrication quantique". Bien sur, tout cela pose des questions de "métaphysiques" conséquentes qui sont hors de propos dans le cadre de cette publication... Les phénomènes biologiques, en particulier les deux acides nucléiques "phares", ADN et ARN, comprennent de multiples données mathématiques, à tous les étages. Les codes, les ratios et la combinatoire, sont les parties essentielle de cette biomathématique des phénomènes biologiques. Mais, ce qui est particulièrement fantastique est qu'on retrouve l'universel Nombre d'Or au cœur même de la mécanique de l'ADN. Sa formule unique est la suivante :
(1+√ 5)/2 = Ф.
En effet il faut prendre la longueur et la largeur d'une section moyenne d'ADN de forme Z et l'on obtient: 34 Angstrons en longueur et 21 en large pour une portion type d'un monobrin. Précisons pour les matheux, que la division inverse ne donne pas de résultat "probant" (CAD 21/34). Le calcul est sans appel 34/21 = 1,6190476190476190476190476190476.; soit une autre remarquable approximation du Nombre d'Or. C'est là une occurence en mathématique. Mais, il y a mieux ! En cherchant bien, nous découvrirons encore de nouveaux ratios, observable dans la Nature.
C'est lors de la découverte du "supra- code de l'ADN" par J-P Pérez qu'on peut déduire que l'architecture globale de l'ADN est d'un ordre de grandeur "sidérant". Donc, la mathématique du Nombre d'Or, ou section dorée, intervient, de manière discrète et peu significative, au coeur même de l'ADN, en nous donnant un "indice" trivial de plus sur le fait qu'il existe quelque chose de "transcendant" dans notre expérience humaine mais ce n'est qu'un indice... En fait, ce sont les équiproportions du nombre d'Or et la progression de Fibonacci -ainsi que celle de Lucas- qui interviennent dans le révolutionnaire supra-code de l'ADN découvert par Jean Claude Pérez en 1990, apparaissent comme le "niveau ultime" d'organisation du génome global de l'ADN codant et non codant (donc des 100% des bases nucléotidiques du nuclosome). Continuons notre exploration, car, il y a une autre grand principe, bien avant les mathématiques, une grande force motrice du vivant, et qu'on retrouve au sein même des acides nucléiques : la lumière !
i In Futura Science (website) "Un second code caché dans l'ADN", par Agnes Roux, le 17/12/2013
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Fiat Lux
La lumière est à la base et l'un des piliers de notre "univers" (sic²) et surement, quelque part, elle le soutient "surement". La lumière pour les astrophysiciens lambda, qui pensent que l'univers est issue d'un Big Bang, CAD une singularité ouverte dans un vide "quantique", s'étant produit il y a environ 15 MdA quelque part là bas. Bref, pour eux, la lumière aurait prédominé peu après le fameux temps de Planck, puis aurait après un certain temps (sic) la place à la matière. Un jour peut-être pas si lointain, allons nous revisiter toute cette cosmmologie, et la mettre à la poubelle, malgré tous le génie d'Einstein -et de ses épigones- qui élabora ce modèle d'univers. Bref, la lumière fait partie de l'infiniment grand (la macrocosme) mais aussi, elle agit, et régule l'infiniment petit (le microcosme) et, je vous le donne en mille : elle est très surement la "clef" centrale, encore plus que l'eau, de la Vie biologique : au cœur même de l'ADN et des acides nucléiques. La lumière est source de Vie, et d'Information. La lumière est aussi activatrice de la photosynthèse, dont le rôle est essentiel dans la biosphère GAÏENNE. Enfin, la lumière régule le rythme circadien.
En 1922, un jeune et génial biophysicien Russe, Alexander Gurwitsch dans l'ex-URSS, des recherches sur des jeunes plants d'oignons et des radicelles de ces derniers. Il observa que les cellules d'une tige d'oignons se divisent et se multiplient pour autant que les radicelles soient proches d'un autre plan d'oignon. Le but de cete expérience portait sur la stimulation de la croissance d'un organisme vivant, les facteurs de croissance... Bref, en substituant le verre (absorbeur du rayonnement UV) par du quartz commun qui amplifie un signal UV, il se rendit compte contre toute attente, et, qu'en l'abscence donc de toute transmission chimique usuelle, un effet de mitose sur le 2ème plan d'oignon à proximité de quelques centimètres du premier, subissait un croisance mitogénique. La variable clef de cette expérience était l'utilisation du quartz pour démontrer l'effet en question. Ainsi, durant des années, on appella cet effet, le "rayonnement mitogénique" de Gurwitsch (Alexander) sans pour autant en "comprendre" les implications, ni quel type de signaux étaient impliqués dans cet effet mitogénique. Pour les sectateurs de la science officielle, cela était de la pseudo-science. C'est dans les années 70 que Denis Gabor lui même, génial inventeur de l'holographie optique, et prix Nobel de physique, confirma les résultats des travaux de Gurwitsch dans le laboratoire de Siemensi. Mais, nous n'étions qu'au début de nos surprises ! Le corps humain, tous les 3 ans environ change sa structure sub-atomique, et se régénère selon un cycle tri-annuel de régénération. En gros, nous nous "régénérons".
Le rayonnement mitogénique était une chose connue, mais, ce n'est que dans les années 70, donc, que les choses s'éclaircirent un peu. En fait, pour être d'une extrême concision, il faut mentionner que les principales expériences visant à élucider la nature de cet effet ou rayonnement mitogénique, eurent lieu dans l'ex-URSS, entre les années 50 et les années 80, trois scientifiques Soviétiques, à qui il faut rendre un vibrant hommage, mirent en évidence le fait que les particules médiatrices de ce rayonnement "mitogénique" n'était autre que les : photons ! Les photons, et oui, ces particules médiatrices de la "lumière", dans notre dimension du moins (sic²²), nous les retrouvons partout ! Ces scientifiques Russes prestigieux qu'étaient, S STSCHURIN, V.P KAZNACHEJEV et L.MICHAILOVA, ont confirmé par plus de 5000 expériences sur le territoire Russe (sic), que les cellules vivantes transmettent des informations par des photons et en particulier, par de la lumière incorporée dans la bande étroite de l'ultra-violet du spectre électro-magnétiqueii. C'était là une découverte "absolument" révolutionnaire, mais, que les conspirateurs, en vue de cacher cette nouvelle preuve sur nos "origines" s'est évertué à mettre soigneusement sous le boisseau, via l'establishment corrompue de la "techno-science".
Bref, revenons. Les photons, sont des particules de masse nulle avec un spin entier, et ce sont ces particules qui permettent d'indexer la valeur limite de la constante fondamentale de la vitesse de la umière (où c (vitesse de lumière) est égale à = 299790 Km-seconde-1). On a finit par appeler ces particules venant des systèmes biologiques, au coeur même de l'ADN même : des "biophotons" pour photons d'origine biologique. Précisons, que c'était bien dans le territoire de l'ex URSS, aussi, que l'on trouvait les programmes de recherche les plus ambitieux au monde, à l'époque et, qui concurencaient et souvent devancaient ceux des Américains : programme de recherche en paraspychologie, en MHD (magnéto-hydrodynamique) et aussi donc, en bio-photonique. Durant un temps, l'ancienne URSS damnait le pion à l'Oncle Sam, mais les dollars, narco ou pétro, permirent aux USA de rattraper leur retard, et même de prendre une avance considérable sur ces hautes technologies et ces domaines de recherche qui restent hyper high-tech dans le cadre des "Black Projects"iii. C'est le grand Professeur et Docteur, Fritz A Popp dont je tire toutes mes informations sur ce sujet, dans sa monographie culte "BIOLOGIE DE LA LUMIERE", qui pu mettre enfin, la dernière (ou première) pierre à l'édifice de cette nouvelle science qu'est la bio-photonique. Avant d'en dire plus, sur son expérience biophysique qui "prouva" au monde par une détection "incontestable"-mesurable-, ces biophotons, spécifions maintenant les caractéristiques principales de ce rayonnement biophotonique (ex rayonnement mitogénique) :
a) il est observable chez tous les organismes vivants du règne animal au règne végétal. Sauf pour les êtres les moins évolués (amibes, unicellulaires et algues)
b) se produit avec des intensités variables sur différentes espèces et intensités spectrales
c) augmente (curieusement) et très nettement, lorsque le système biologique en question est prêt à mourrir. Puis, lorsque l'entité (ou l'être ou la plante) meurt, le signal "bio-photonique" disparait "instantanément". Le signal s'évanouit avec l'entrée dans la mort.
C'est donc le grand Professeur de l'université de Kaiserlautern, Fritz A POPP, en RFA (Allemagne de l'Ouest), qui vers la fin des années 70 a pu clichés à l'appui, l'existence de cette communication "bio-photonique" inter-cellulaire, à l'aide de sa géniale invention un photomultiplicateur à I-R (infra-rouge) avec une plage fréquentielle de 800 à 200 nanomètres de longueur d'onde. Les récentes technologies (d'il y a moins de 10 ans) pour détecter des nano-particules utilisent des micro-spectroscopes infra-rouge dont la sensibilité spectrale est proche (cout de 70 à 80000 €). Ce photomultiplicateur révolutionnaire pour l'époque, comprenait un prisme (une cuvetteà à quartz visant la conductivité ultra-violette) ainsi qu'un système innovant, mis en place par le Doctorant de Popp, B.RUTH, qui réalisé la performance de mettre au point une technique d'optimisation permettant la détection des flux de photons dans l'expérience de 1979. Ainsi, la culture test était non pas animale mais végétale (levure). Les conséquences ainsi que la preuve "formelle" de l'existence et de la nature du rayonnement mitogénique en tant que rayonnement biophotonique, furent multiples. Le professeur Fritz A Popp, en vint en penser, que ce rayonnement, était non seulement "universel" dans le monde vivant (v) mais, qu'en plus, il pouvait être la clé de toutes les réactions "métaboliques", chimiques et membranaires qu'on retrouve dans les organismes vivants supérieurs.
Pour ma part, je pense qu'il a raison, et bien plus encore ! En tant que spiritualiste et adepte du jeune alimentaire, je puis vous dire, que la "lumière" le prana si vous préférez, est la forme "ultime", voir même "antérieure" à l'homo-sapiens-sapiens, de nourriture des organismes et de la Vie, avant que nous fonctionnons sur un système de prédation et par phagocytose. Le mécanisme de la photosynthèse pourrait dès lors être un "reliquat" de ce système de nourriture pranique. J'ai senti durant mes nombreuses périodes de jeune, qu'un "mécanisme" alternatif se mettait en place, lorsque je jeunais, en particulier, lorsque je faisais des jeunes sans "eau", ce qui physiologiquement, n'est pas "possible". Mais, pour DIEU, le PATRON ou le DIVIN, imposible, est un mot n'étant pas dans son vocabulaire. Au fond de moi, je "sais" qu'il est possible avec l'aide de DIEU (du patron comme disait l'ami John Coffey), de s'abstenir de nourriture et d'eau; un peu comme Jésus-Christ, le recommande (suivez mon exemple disait-il non ?) durant une longue période, entre 30 et 50 jours. Durant cette période le système "secondaire" ou atrophié de nourriture "pranique" va prendre le relais. Seule l'eau je pense, reste indispensable, au bout d'un certain temps (moyen terme) on doit de nouveau en boire, du fait des contraintes physico-chimiques du corps humain actuel.
En principe, nous devrions pouvoir nous nourrir tous le temps comme ça, je crois savoir, mais, du fait des "chutes" successives, cela ne semble plus être possibles, sauf pour quelques êtres exceptionnels ! Selon mes modestes conjectures, durant une période de jeune totale comme j'ai pu la faire, la production de "biophtotons" devrait être multiplié par x puissance n, dans l'organisme "modulo" le taux vibratoire moyen (selon l'échelle de Bovis) de l'individu. En effet, certains individus vibrent plus ou moins, selon des échelles différentielles. Précisons, qu'un article de la revue française, Science et Vie, d'il y a quelques années parlait des "micro-jeunes" comme étant la panacée universelle, pour de nombreuses maladies et affections. Je crois qu'un jeune alimentaire "bien fait" peut guérir nombre de maladies physiques et psychiques.
Je ressens aussi que ce mécanisme de nourriture pranique, nous "relie" à l'ETHER cosmique ORIGINEL. Pour moi, ça ne fait aucun doute !! Cela explique que certains mystiques dans l'Hindouisme, tels les Saddhus de l'inde du Sud, ainsi que d'autres mystiques dans le monde, semblent capables de se nourrir de "LUMIERE", car, la lumière est "OM-niprésente" partout autour de nous, dans les fluctuations de l'ETHER cosmique. Le voile de la la matière (illusoire) occulte cette Vérité. Bien sur, pour vous décrypter la chose, une telle découverte, est "totalement" dangeureuse pour le système, et bien plus encore ! Dites vous bien là encore, et rendons hommage aux savants Soviétiques, en particulier aux laboratoires et équipes de l'unité "Aura Z", qui communiquèrent et distillèrent, ces informations, par des publications en destination du bloc de l'ouest, et que j'avais eu l'occasion de lire, lorsque j'étais adolescent.
Ces découvertes et ces connaissances sont très importantes, car, elles sont autant d'indices qui pointent en direction des parois de l'aquarium qui nous entoure, et aussi, elles mettent en lumière aussi, les zones d'ombres de la corporation de la techno-science mondiale, qui vise le plus possible à freiner, ce que je nomme (à l'instar du Professeur JACOBSON) : le potentiel Humain . Ainsi, dans l'encyclopédie libre -mais sous controle gouvernemental- Wikipedia, à l'article concernant les biophotons, vous y trouverez une fort peu attrayante explication sur le fait, que ces derniers sont le résultat de réactions de radicaux libres, issus des différents rayonnements ionisants. Fritz A POPP, et d'autres chercheurs nient en bloc cette explicationv. L'une des caractéristiques du rayonnement photonique, qu'a pu mesuré POPP, est justement une caractéristique de "cohérence", c'est à dire, que le flux bio-photonique est similaire à celui qu'on retrouve dans le principe du LASER (débit de photon par unité de temps + répartition spatiale par unité de volume). Beaucoup d'arguments techniques, hors-propos ici, peuvent être avancés contre la théorie des radicaux libres comme explication de l'existence des biophotons. Cette propriété dite de cohérence n'est pas contigue à des fluctuations "stochastiques", spécifique à un système biologique, à une réaction d'oxydo-réduction par exemple. La mesure de la cohérence à ce niveau là, relève tout simplement d'un "mécanisme" spécifique qui est "invariant" aux fluctuations externes des centaines de réactions dans un système biologique... (selon moi).
Les scientifiques lambda veulent nous faire croire, que les biophotons ne sont, comme le remarque POPP, qu'une luminescence de bas niveau (low level luminescence) car, si la biologie mondiale reconnaissait la prééminence de ce rayonnement cellulaire biophotonique, dans son role exact, cela causerait un grand "problème". Enfin, venons en au point qui nous intéresse ici. L'ADN selon le Professeur POPP, serait la source du rayonnement cellulaire ultra-ténuevi ou ultra-faible (ou bien encore, notez le bien, le rayonnement bio-photonique). De mon point de vue, l'explication comme dirait monsieur Spock est parfaitement : "logique". D'autant plus que nous serions dans le canevas théorique où l'ADN et les acides nucléiques en tant que tel, opèrent un peu comme des antennes YAGI en produisant une sorte de "télé-transmission" inter-dimensionelle. Théoriquement, on pourrait construire des détecteurs de biophotons, pour détecter, les variations avant l'apparition d'une maladie.
Comme feu le célèbre Professeur Régis DUTHEIL le pensait, l'apparition d'une maladie, est toujours précédé d'une "coupure-interférence" dans le champ d'énergie qui entoure chaque organisme vivant (le corps électrique ou "champ de Burr (vii )(CQFC qui est donc le duplex de la communication biophotonique considérée ici). Cette coupure-interférence précédera "toujours" l'apparition des symptomes biologiques. En théorie, toute méthode "interne" renforcant la communication inter-cellulaire photonique, comme la méditation, les micro-jeunes (dont je parlais plus haut), l'exposition au SOLEIL (l'astre héliaque), et bien d'autres méthodes "holistique" (la Prière aussi, très surement !), agissent sur cettte communication "biophotonique" par ce que je nomme un feed-back "bio-informationnel". La bio-luminothérapie ou chromothérapie agissent également par apport de photons artificiels externes ainsi que comme bio-stimulant stimulant aussi des sécrétions endocrines (-aussi en apport en vitamine C et D-) de la glande pinéale et sa réactivation (acide citrique + ail). La biophotonique, si elle était correctement exploitée, permettrait de soigner de nombreuses "affections", mais surtout, elle permettrait aux malades de mieux entrevoir le fonctionnement "holistique et cybernétique" du système duel : corps-esprit. Chose qui est cachée à ce jour à la masse par l'inertie "absolue" du système médical et par un paradigme régressif consistant à considérer l'être humain comme une mécanique disjointe -CAD non globale et holistique- ! Pourquoi ces choses là sont cachés ?
Pour conclure, la communication bio-photonique, les biophotons, sont fort probablement à la source des principales réactions et transmissions des organismes supérieurs. On pourrait expliquer par ce mystérieux rayonnement de nombreuses choses qui sur un plan biochimique, n'avaient pas d'explications à ce jour : activité enzymatique, condensation de la chromatine, différenciation, photoréactivation (viii). Je citerai pour terminer cette première partie d'article comprenant les 3 éléments centraux : eau, mathématique et lumière, un extrait du livre BIOLOGIE DE LA LUMIERE, qui vous donnera une idée de la notion ADN = Antenne (ix) écrit par ce génial Professeur Fritz A POPP :
" Les temps de stockage se situent en fait dans des ordres de grandeurs s'échellonant de quelques minutes à quelques heures. Ce qui correspond à des qualités de résonateurss'inscrivant dans des ordres de grandeur requis. La largeur de "cohérence" de ces ondes porteuses, se situe du reste dans l'odre de grendeur du trajet qui est fixé par les ADN de tout l'organisme, alignés l'un à la sa suite de l'autre, : 10 milliards de kilomètres. C'est une super antenne aux dimensions gigantesques" !
Et donc, si l'ADN est une antenne nous pouvons raisonnablement supputer que l'origine du signal biophotonique, est non-locale, en particulier du fait que ce lien se caractérise par l'atténuation et la disparition complète du signal lorsque l'organisme "meurt" et par la brutale accentuation du signal dans les secondes et minutes précédant la mort. En conclusion toute temporaire, l'existence d'une communication par photon ultra-violet à haute cohérence dans l'ensemble des organismes vivants "codifiés" par les Acides Nucléiques, sur notre planète, jette selon moi, une nouvel "éclairage" sur un grand nombre de questions jusqu'alors sans réponse. Cela peut-être considérée comme un motif de satisfaction pour les "spiritualistes" qui ramènent beaucoup de choses à la "lumière" en général (expérience spirituelle d'illumination, transluminisation des "mémoires" par le pardon, nourriture par la lumière, vision d'êtres de lumière, etc etc).. C'est un champ de recherche prometteur et qui pourrait, dans un avenir proche, nous être d'une grande utilité, en particulier, dans le cadre des solutions curatives et réparatrices, à mettre en place pour contrer les effets des nano-technologies intrusives (dans le corps humain ou les organismes vivants). Cette problématique des nano-technologies et de leur impact, est de plus en plus soulevé par des organismes de santé publique ainsi que des rapports de lanceurs d'alerte (whistleblowers).
Plusieurs alertes sanitaires, ont été lancés depuis environ 5 ans à 10 ans, partout sur la planète, où l'on voit apparaitre des "tests" à grande échelle, laissant penser à des expérimentations de "nano-technologies" sur le vivant. Ces expériences, militaires ou civiles, se réalisent en totale violation des règles internationales, et elles sont le fait de certains états qui investissent sur le "high-tech". J'ai élaboré une théorie basé sur le "magnétisme" pulsé couplé à un agent chimico-actif, qui pourraient être à même de neutraliser, la plupart des nanotechnologies ou nanoparticules intrusives. Il y a là un potentiel pour le devellopement d'une start-up de premier plan et sur un secteur porteur, car, à ce jour, aucune solution n'existe pour neutraliser les nanotechnologies et nanosystèmes divers que des apprentis-sorciers, manipulent et introduisent dans la nature sans se soucier des conséquences et des risques sanitaires à grande échelle. L'époque où de telles assertions pouvaient être considérés de la science-fiction est révolue. L'association incubatrice d'idées scientifique, QUASAR, que je préside, dispose de 3 "projets" concrets, rapidement exploitables, dans le cadre du projet PHENIX.
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CONCLUSION TEMPORAIRE
Nous avons vu dans ce dévellopement, que plusieurs co-processus interviennent dans l'organisation du vivant et dans les bases biochimiques du vivant, les acides nucléiques. Au niveau atomique, il convient de dire que les atomes constitutifs des acides nucléiques, plus précisément les éléments atomiques comme le carbone, hydrogène, oxygène, azote, phosphore (concept CHON-PS) sont présents en abondance dans la matière et sont les atomes constitutifs des acides nucléiques. Pour autant, nous pouvons estimer les chances à ce qu'une telle organisation s'auto-constitue pour former un code élémentaire, comme étant très faible. Le problème se corse lorsqu'on considère qu'il y a plusieurs "couches" de codes -dont le supra-code de Pérez- au niveau de l'ADN. Si l'on considère le problème de l'apparition en premier des proteines et/ou de l'ADN, on a là le problème de l'oeuf et de la poule de la biologie moderne, il s'avère que (voir tableau infra) dès que Watson et Crick identifièrent le code génétique en 54, le problème de savoir, qui de l'ADN et des protéines est apparu en premier, jetta un paradoxe insoluble, sur la question de l'origine de la vie. Les modèles à ARN de l'origine de la Vie, n'explique en rien cette incongruité.
Ainsi, on a pu voir également, que l'apparition "massive" d'un solvant comme l'Eau (H²O) en grande quantité sur toute la planète, est aussi un facteur favorable "étrange", qui a participé à l'éclosion de la Vie, sous forme de chimie du carbone. Etonnant, n'est ce pas cette concomitance de hasards de toute sorte !? Enfin, pour conclure la première partie de cet article, je dirai qu'il est encore plus "étrange" de retrouver toute une mathématique, extrêmement "complexe", sous forme de codes (partie 3) et de ratios "universels" comme Φ (phi) et Π (pi). Il y a rarement de "codes" sans codeur en règle générale.. Enfin, dans la partie 4, nous avons pu voir, qu'il existait toute une communication inter-cellulaire, dans le monde du vivant (des arbres, plantes, jusqu'aux humains) dont la régulation s'effectue par le biais de "photons" (qui est la particule médiatrice de la lumière) dont la fréquence se situe dans la bande de l'ultra-violet du spectre électro-magnétique. Ainsi, c'est une bande de fréquence plutôt "élevé", pourrait-on dire pour un simple processus de "bio-luminescence" (sic) ! Qu'on le veille ou non, la présence d'un tel rayonnement "biophotonique", provenant du coeur même de l'ADN, est un élément à charge de plus, suggère qu'une "physique" non-locale a de grande chances d'intervenir sur TERRE, dans les processus d'édification du monde vivant.
En guise de conclusion temporaire, de cette première partie d'article sur l'origine des Acides nucléiques, quelque soit votre niveau en science, en poésie ou en littérature, force est de constater, qu'une -ou plusieurs- mains invisibles, semble bien être intervenu dès l'Origine géophysique et géochimique de la planète, et d'une manière fort discrète, un peu à la manière dont se fait la construction d'une "expérience scientifique" humaine, en agissant sur des "variables" primaires (apport nutriftif, apport calorique solaire, etc), non seulement locales (chimie terrestre), mais aussi sur des variables "secondaires", comme par exemple en plaçant idéalement l'astre "héliaque" (notre soleil) à bonne distance de notre planète bleue, afin que ce rayonnement soit "idéal". L'équation de Drake exprime très bien, cette "vérité", dans les recherches qui furent entreprises, dans les années 60, dans le cadre de l'exo-biologie, afin de déterminer, la position idéale d'une étoile et d'une planète en distance (millions de kilomètres) afin de favoriser l'éclosion et la croissance d'une vie, sous forme de chimie du carbonne. Voilà ! Maintenant, dans l'attente de la seconde partie de cet article,Allons maintenant, vers des considérations plus "philosophiques".
Tout dans le processus de la Vie, n'est que question de prise de conscience, du moins est-ce la conclusion personnelle que j'en ai tiré au fil des ans. De telles connaissances, que j'aborde superficiellement dans cet article, sont accessibles de manière parcimonieuse, à certains "humains", suivant le niveau de conscience de chacun, mais, la masse doit suivre son chemin semble t'il. La manière de prévenir certaines maladies, et d'en guérir d'autres comme la "cancer", fait partie des enjeux de la "biophotonique" par exemple. Les rétro-virus, comme le VIH, l'Ebola, ont de nombreuses caractéristiques "sélectives", faisant penser à une classe d'agent pathogènes de type "militaire". Les Etats-Unis d'Amérique, ont dès les années 60 et les épandages au nord Viet-Nam de l'agent Orange, fait des tests, y compris, sur leur propre force militaire. Le développement de vecteurs biochimiques à haute "sélectivité", et encore plus high-tech, les virus "électromagnétiques", font partie des récentes avancées dans des laboratoires "ultra-top-secret". Je conseille au lecteur curieux d'approfondir ses connaissances sur les rétro-virus et les agents pathogènes anormaux, la lecture de l'excellent livre la "Guerre des Virus" de Léonard Horowitz, qui surement fera chavirer le lecteur dans le camp des "Conspirationnistes". Notons, qu'en mon fort intérieur, je pense et "je sais" que la capacité de résilience du système immunitaire "humain" est "énorme, bien plus importante qu'on pourrait le croire. Il y a là un lien entre la Conscience, Dieu (le divin), l'Amour en rapport avec le champ d'énergie "bio-électromagnétique" du corps humain. Tout forme un TOUT. En stimulant correctement ce champ d'énergie humain, comme je le disais plus haut, même face à des toxines "redoutables", voirs des nano-agents (nano-virus, nano-robots, etc), il est possible de "guérir" l'organisme avec l'aide du GRAND TOUT.
L'élévation de la pensée par le "cœur" vers ce que nous appelons "DIEU", est la clef, je crois bien de tout processus de Guérison Globale. Je pense que les biophotons en effet, agissent en rapport avec les Lymphocites T et les globules blanc, et peut être forment ils une troisième ligne de défense du système immunitaire agissant par cavitation "vibratoire" (quantique) sur les agents pathogènes divers. Je pense qu'en modifiant notre alimentation, en évitant des sources de pollutions électro-magnétiques, en se connectant à la nature (GAÏA), nous pouvons aider le corps physique, et stimuler ce mystérieux "bio-champ" d'énergie vitale. Pour toute malade, il y a là un message d'espoir, à condition de se prendre en main en premier : "aide toi et le ciel t'aidera" rappelle Jésus Christ !. Le premier pas à faire, est avant tout intérieur dans une prise de conscience. C'est là un grand message d'espoir pout tout malade. La connaissance scientifique est en cela, complémentaire de la connaissance spirituelle, et elle permet en cela de transcender en cela, la dualité qui est dans le monde.
i In biologie de la Lumière par Docteur Fritz A Popp, Page 40. Editions (Collection) Résurgence.
iiIbid. Page 44
iii Les fameux Projets Noirs. On les appellent ainsi, car, ils n'apparaissent dans aucune ligne comptable consultable par le Congrès ou le Sénat et sont totalement opaques, au legislateur US. Ils sont le pendant de l'organisation multi-étage et de la "corporation" qu'est l'état fédéral US. Ils furent autorisés et légitimés par la Constitution Fédérale, ainsi que par le mémorandum Truman de 1947 sur la Défense Nationale (NSC-).
ivIn biologie de la Lumière par Docteur Fritz A Popp, Page 53. Editions (Collection) Résurgence.
v Ibid page 67, fin de page.
vi Ibid page 105 "ADN - Source de rayonnement" !
viiUniversité de Yale, 1969; le "champ de Burr" est un champ dipolaire mesurable dès l'embryogenèse. C'est un champ électromagnétique à l'intensité variable avec des effets galvaniques; et dont la particule associée est le "photon"-à toute information électromagnétique- en mécanique quantique.
viiiIbid page 173, tableau de synthèse "Tableau 2" interprétation grace au concept de biophotons de quelques phénomènes inexplicables jusqu'alors.
ix Ibid page 172